Black Night

Van sortit de la rue de Foster. Il semblait se dirigeait vers le centre-ville. En chemin il rencontra quelques zombies qu'il tua assez vite. Une fois dans le centre-ville, Van se dirigea dans un bar, le Black Night. Les lieux semblaient déserts, il prit place au comptoir et sortit sa montre.

"trois deux..."

-Un.

Tout d'un coup, une ravissante femme sortit de l'ombre. Elle portait une tenue similaire à celle de Van sauf qu'elle, elle possédait des formes qui ressortaient...

-À l'heure comme toujours patron...

La jeune fille posa une bière sur le comptoir, devant l'homme.

"Rika, tu as fait bonne route?"

-Sa peut aller.

"J'ai une tache pour toi, j'aimerais que tu localises pour moi les différentes installations militaires ainsi que les entrepôts d'armes."

-C'est tout patron,*rire* je viens d'arriver ici et vous commencez déjà à vouloir tout dirigeait.

*petit rire* "Allez file et ramène-moi ce que je désire"

La jeune femme disparut comme elle était apparu, Van quant à lui enleva son foulard et but la bière.

Après la rencontre avec son amie, Van sortit du bar. Il voyagea dans la ville pendant quelques jours. Pendant sa longue marchée il fit connaissance avec quelques survivants dont il ne se souvint plus du nom. Après tout cela, il se posa dans une maison ou il prit un bon moment pour reprendre des forces après tout ce qui s'était passé.

Le duo revint au bar pour parlait des opérations futurs.

"Alors, je t'écoute?"

-Il y a plusieurs petit camps en ville mais c'est au niveau de la tour Eiffel que se trouve la plus grande. Le souci, c'est de rentrer sans se faire tuer...

"Je vois...J'ai ma petite idée sur le comment entrée. Bon, tu vas faire monter sur Paris la moitier de nos effectifs et laisser l'autre moitier dans le Sud."

-Sa sera fais.

Après cela, la femme partit vers la sortie, Van quand à lui resta encord un moment au bar.

Quand Van revint au Black Night. Il entendit un claxon, il se retourna et vit un camion de l'armée. Le vehicule s'arreta devant lui et plusieurs individus vétus de noirs déscnedit, digne d'être de vrai soldat. Rika déscendit de la cabine de l'avant, son supérieur la questionna de la provenance du camion.

"Tu sors sa d'ou?"

-J'ai simplement utiliser mes atout féminin pour l'obtenir, il nous à fait gagner pas mal de temps, dit elle avec un sourire.

Le groupe qui était déscendu du camion salua Van de "patron", "comment va l'ami?, "tu tire toujours aussi mal?".

"En avant bande de petite merde, déchargez moi la marchandise du camion et foutait la dans le bar!"

Les memes mots sortirent de la bouche de ces personnes.

-Bien patron!

En un quart d'heure, la marchandise se trouvait dans le bar, Van prit alors la parole.

"Bien bande de fénéant, Je veux que se lieu soit niquel, je veux des néon sur les mur, un bureau rustique, de l'alcool à en mourir et un juxebox, comprit?!"

-Oui patron!

"Rika va voir la bande de bouseu, je leur est dit que nous irons les voir demains mais je ne pensez pas que vous viendriez si tot, ramène les moi"

La fille partir en direction du bastion sans dire un mot.

Cela faisait maintenant quelques jours que les armuriers étaient retourner au bar. Pendant ces jours, ils avaient transformé le bar en lieu plutôt simpathique. À l'étage se trouvait le bureau de Van, on pouvait entendre un jukebox depuis cette salle-là quand la porte était ouverte. Son Bureau était une simple table en bois qui ne semblait pas très solide mais le fauteuil ou notre marchand prenait place était un grand siège en cuir, cependant on pouvait apercevoir quelques trous. Dans le bar, quelques trétaux et des planches de bois remplaceaient les tables cassées. Une salle à l'arrière du comptoir menait à une cave. Quelques matelas et des draps usaient se trouvaient dedans, de quoi offrir un minimum de confort aux membres. Dans un petit garage qui menait directement au bar par le biais d'une porte, Van avait condamné l'issue qui servait à faire sortir les véhicules. Ses hommes avaient placé toutes les armes dans ce lieu, et Van avait scellé la porte par le biais de chaines et de cadnas dont seulement lui posséder la clef. Le deal n'ayant pas eu lieu, les hommes de Van durent se serraient la ceinture avec le peu de nourriture trouvait. La plupart des pièces du bar étaient éclairées à la bougie sauf le bureau de Van qui était alimenté par un petit générateur qui ne fonctionnait pas très bien. Une personne entra dans le bar pu certainement voir Rika au comptoir, une poignée des marchands aux tables, un homme gardant l'escalier menant au bureau de Van et deux autres vers le garage pour les armes. À l'extérieur, les marchands se relayaient pour monter la garde. Tous attendaient avec impatiance l'arrivait des vivres....

J'arretais mon 4x4 a une dizaine de metres des barricades qui protégaient le rade. Je déscendis et un des gardes me visa avec un fusil.
"Hey! T'es qui toi? dégage ou je t'explose!"
"Pas la peine de stresser. Dis a ton boss que Johnny du Bastion vient le voir."
Le jeune garde courut voir son patron. Deux autres gardes me firent entrer. Je m'assis sur une chaise en attendant la réaction de Arms.

Un bouquant infernal raisonnait de la grande salle, tout le monde reegardait johnny en chuchottant. Quand tout d'un coup un coup de feu se fit entendre, les personnes dans le bar se retournèrent vers les escaliers. Se fut Van qui avait tirer sur le plafond. Il était sans son manteau, ni son chapeau et son foulard était au cou.

"Y a pas moyen d'avoir un peux de calme ici!?"

Puis Van se dirigea à la table de Johnny, il prit place et mit les pieds sur le meuble en bois.

"Tu veux quoi?"

Arms tira en l'air et vint me voir.
"Je veux te voir en privé. Pas devant ces pignoufs qui te servent de gardes."

Certaines personnes dans la pièce grognaient. Rika sortit de son comptoir et se dirigea vers Johnny.

-Tu devrais surveiller ton language qand tu es ici...

Van lui fit un signe de retourner derrière son comptoir.

"Tu devrais faire attentions, ce ne sont pas des merdes que tu vois ici, se sont des armuriers...Bon tu me veus quoi?"

"On va dans ton bureau oui ou merde?" dis-je, commençant a perdre patience.

Van écarta les bras en l'air et glissa un sourire sur son visage.

"Je ne cache rien à mes ga, parle, que veux tu?"

"Comme tu voudras. Je viens ici pour renegocier les termes de notre... accord. Pas question qu'on risque 2 fois notre peau pour vous. On se casse le cul a aller chercher des endroits ou il y a encore de la bouffe, on va pas traverser la ville pour vous faire plaisir. Donc si on te l'apporte, tu nous donnes les munitions communes (de 22 LR. à 5.56 OTAN) gratuites et 50 % sur le reste." répondis-je a Arms.

Van éclata de rire, ses hommes firent de même.

"Gratuit? Et cinquente pourcents de réduction? Risquez deux fois votre peau? Je t'aime bien toi, qui à prit les risque en vous apportant les armes, qui se traines commes un chiens pour trouver ses armes, hein? Je suis pret à vous laissez deux caisses de munitions communes contre deux caisses de nourritures ainsi que quelques bouteilles d'alcools..."

"Deux caisses de munitions pour UNE caisse de bouffe et 4 bouteilles. Pour 5 caisses de bouffe, une caisse de munitions plus rares. Et 50% sur les armes."

"Les armes sont tout au temps importantes que les vivres, deux caisse de munitions communes contre deux caisses de bouffe..."

Un des armuriers assit à une table s'exclama.

-Et le rhum patron, on veut du rhum, y en a presque plus...

Un marchand qui était saoul s'écria au coin de la salle.

-Quoi on à plus de rhum!? Patron, faut du rhum!

Van soupira avant de continuait la conversation.

"De l'alcool, vous pouvez en faire. Deux caisses de munitions pour une caisse et demi de bouffe, et une autre demi caisse avec de quoi faire de l'alcool." dis-je a Arms.

"deux caisse de bouffe, de quoi faire de l'alcool contre deux caisse d'armes et trois magnums"

"D'accord pour les Magnums mais il nous faut 60 cartouches par calibre."

"trentes balles par magnum"

"Quarante."

"trente cinq, pas plus"

Après cela Van fit un signe à un de ses hommes qui apporta trois magnifique magnum.

"Comme tu peut le voir, ils sont en parfaite état, tu les auras dit que j'aurais mes vivres..."

Je pris un des Magnums qui n'étaient évidemment pas chargés. C'était un très beau Smith et Wesson commemoratif, de tir sportif(oui je sais, en 357 Magnum). Il étaient en finition nickel avec crosse en nacre. le canon faisait 15 centimètres de long et le barillet pivotait sur le coté.
" Très bien." dis-je, en dortant un écrit. "Singons ça et ça scellera notre accord. La moindre baise de quiquonque entrainera son annulation. Pour vous comme pour nous." Je sortisd un stylo et signais en bas de la page. Arms fit de meme. Je lui tendit la pogne qu'il serra a contrecoeur. Je retournais par la suite au 4x4 pour aller checher deux caisses de vivres qui furent échangées. Je retournais par la suite au Bastion.

Van remit son chapeau sur sa tête, on put aperçevoir un sourire sur son visage, pas un simple sourire mais un souridre disant "affaire conclu". Quand Johnny fut parti chercher les vivres, Van declara.

"J'ai la dalle..."

Les armuriers buvèrent et mangèrent à leur faim, Van quand à lui ne mangea qu'une simple pomme tout en feuilletant un livre dans son bureau.

Le lendemain, Van, accompagnait d'une poignet de ses ga partirent à la recherche d'un generétaur pour le bar.

Les rayons du soleil réveillèrent Van qui dormait dans son bureau. La tête dans les nuages, il mangea le reste de pomme de la veille en guise de petit déjeuner. Le leader des armuriers descendit dans le bar pour voir l'état des lieus, un concentrer d'ivrognes dormait sur les tables. Van soupira... Il dégaina son pistolet et tira quelques coups en l'air. Ce qui eut pour effet se réveillait toute la troupe.

"Allez bande de larves, debout, on a du travail!"

Les armuriers se levèrent avec précipitation, certains allèrent réparaient des armes, d'autres faire le ménage dans le foutoire qu'était le bar. Van attrapa une bombe de peinture et se dirigea dehors, à l'entrée. Il tagua diverses phrases sur les murs du bar du genre "La maison ne fait pas crédit" ou encord "On ne rembourse pas". Après cela il rentra, enfila sa tenue et prit place dans son bureau. Une demi heure après, Van suivit de deux compagnos quittèrent le bar avec trois sac remplit d'armes...

Van, je te demande la permission de tuer un de tes hommes. Une personne mineure, sans grande importance. Est ce possible ?