Maisons-Alfort

Je pilotais le VBL pour mon plus grand plaisir quand James nous interrompit dans nos pensées. Il venait, selon lui, de penser à un plan simple, mais excellent !!!

-Alors les gars, j'ai emporté le fusil de précision. Je me mettrais sur un toit pour canarder ces motherfucking raiders. En même temps, comme Paul a un peu de mal avec les armes à feu, il s'occupera de la mitrailleuse. Et vous deux, vous finirez le boulot. Ok ?

Nous acquiescâmes tous et nous laissâmes le texan prêt de l'immeuble en face du repaire. Il se placa et nous passâmes à l'action. Je me garais devant le repaire et laissais Paul faire son travail. Il tira tant de cartouches que la chaleur des cartouches se répandit dans le véhicule. L'ex-gendarme tirait bien, lui aussi. Au bout d'un moment, plus rien ne bougea et ce fut à notre tour, à Johnny et à moi, d'entrer en scène.

Nous marchâmes jusqu'aux vitres éclatées et je sautais par dessus le petit obstacle. J'avancais doucement, en faisant un minimum de bruit. Personne de vivant, juste des cadavres. Je les fouillais et récupérais quelques cartouches. Puis, au détour d'un couloir, je tombais sur...

Lancer de dés :

2-6= Raiders; 7-10= Zombie enchaîné; 11-12= Grosse armurerie.

Le membre 'Adam Edenfield' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de la chance' : 4, 5

Au coin du couloir, je vis un zombie enchainé a un mur. Il nous entendit et essaya de se ruer sur nous. Je sortais mon couteau et lui plantais entre les deux yeux. Nous reprimes notre route et 2 raiders étaint en train de griller un clope dans un couloir. Adamn tua celui de droite et James abbatit celui de gauche. Adam prit la ête et nous avancions. mais la, surprise! une dizaine de raiders se cachaient en nous attendant. Nous croyions qu'il n'y vait plus d'ennemis mais James tira et je vis du sang gicler de derrière une caisse. Je criais:
"Baisse toi!" et je m'accroupis derrière une caisse. Adam se mit derrière un meuble quelquonque et il défouraillait. Je fis de meme, courant d'abri en abri pour faire sortir les raiders de leur planque. Adam et moi en abattions 4, James en tua 3 et Paul en tua 3. Au final, nous les avions tés mais au prix d'une balle dans mon avant bras droit. Nous trouvions beacoup de drogues dans le batiment, mais aussi étrangement peu de nouriturre. Le armes et munitions étaient la mais en faible nombre. Nous sortames du batiment et remontames dans le VBL.

Après cinq minutes en VBL, j'arrivais au garage Renault. J'avais broyé de nombreux zombies sur mon passage et je n'avais plus de remords. Je me garais devant les portes et descendis pour aller voir ce qu'il y avait. Quelques voitures banales, une jolie deux-chevaux, quelques moteurs dont un qui me semblait en bon état et assez puissant. J'étais content de ma trouvaille quand un craquement retentit derrière moi. Soudain, à deux pas de mon véhicule, une ombre cacha la lumière des néons et je me retournais en sachant déjà que j'étais profondément et désespérement dans la merde.

Un zombie de trois mètres de haut bavait et grognait. Je fis la chose la plus sensée et logique: je jetais le moteur dans le VBL, dégainais mon revolver et vidais le barillet dans le crâne de la bête. Elle tomba à genoux et je lacérais son visage avec mon couteau. De plus, un coup de crosse l'éborgna. Mais il essaya vite de se relever et je grimpais dans le véhicule de l'armée. Je démarrais mais n'avancais pas. En effet, le colosse retenait l'arrière. Je trouvais, abandonné par terre, un fusil à canon scié. Je le pointait vers le visage du gargantuesque monqtre et tirais. Rien ne se passa. En désespoir de cause, je le lui envoyais dans le visage. Il hurla et lâcha le VBL. Je roulais en trombe, le moteur à mon côté. Deux créatures se tenaient sur le cou du gigantesque monstre. Elles semblaient être mi-humaines, mi-zombies. Je ne m'en occupais guère et roulais jusqu'au Bastion !!!

Je voulais absolument trouver un minimum de bouffe et d'eau avant de partir. Paul et moi puions la sueur et autres joyeusetées. Nous avions trouvé une baraque avec un petit reservoir d'eau de pluie, et ça aurait sans doute été utile. Je m'arettais devant la maison et défoncais la porte.

<3 = peu de vivres, de l'eau, aucun zombie ; <8 = de l'eau, 10 zombies ; <10 = peu d'eau, un fusil a double canon + 20 cartouches

Le membre 'Johnny Thunderhead' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

#1 'Dé de la chance' : 4

--------------------------------

#2 'Dé de la chance' : 5

J'avais pas eu de chance: dès que j'avais enfoncé la porte, je vis une dizaine de morts vivants affamés. L'odeur dans la baraque était pestilentielle, et je fis demi tour et sautais sur le chop. Je kickais comme un damné et fis bondir le chop. J'allais continué sur ma lancée lorsqe je vis un zombie aggripé au cadre de la bécane. je sortais mon M1911 et lui collais une balle entre les deux yeux. Il était grand temps de quitter cette foutue ville....

Johnny n'avait pas changé, toujours aussi chevaleresque et impulsif. Et maintenant on avait encore droit à une fuite spectaculaire en bécane, avec un de ces foutus monstres à deux centimètres de moi. Johnny l'avait neutralisé, certes, mais je me retrouvais rempli du sang du mort-vivant. Partout sur mes vêtements et dans mes cheveux.

"Johnny, je vois toujours pas où tu veux aller. Faut quitter Paris, y a pas d'autre solution ! On aura sûrement plus de chance en pleine cambrousse non ?"

"Qu'es-c-que tu crois?" Hurlais-je a Paul, en essayant de couvrir le bruit du vent et du moteur. "Je sais pas ou je vais, mais en tout cas, il est hors de question qu'on reste ici. On va prendre l'autoroute et prier pour qu'elle soit pas bouchée. Si c'est le cas, on va prendre les nationales."

"Alors quoi, tu veux barouder jusqu'à tomber sur l'El Dorado c'est ça ? T'es un grand malade Johnny ! Et l'autoroute VA être bouchée, déjà quand tout allait "bien" c'était la merde, alors maintenant, six mois après tout ce merdier j'ose même pas imaginer. Déjà je peux te dire que le périphérique a été complètement ravagé par l'armée, j'ai vu des cratères gigantesques quand je suis arrivé au Bastion !"

Je me mis à réfléchir. L'alcool commençait tout doucement à ne plus faire effet, même si je restais incapable de quoi que ce soit.

"Et si on allait voir les autres camps de survivants Johnny ? Adam avait parlé de Paname, à Versailles. Sinon peut-être que Torelia tient toujours debout ! Ça coûte rien d'essayer non ?"

Paul marquait un point. Mais j'ignorais ou étaient ces deux villes. Mais bon, valait mieux ça que rien.
Après m'avoir éxpliqué ou c'était, on avait pas mit longtemps a rejoindre Paris.... a nouveau.