Vitry-sur-Seine

Après qu'il eût démarré, un long silence s'installa entre nous. Pas grand chose à se dire j'imagine. Mais on espérait tous les deux tomber sur des choses à grailler en quantité. Et Métro semblait un bon choix... Quoi de mieux qu'un grossiste alimentaire ?

La route avait été courte, une dizaine de minutes. Le magasin était indiqué, ce qui nous avait facilité la tâche. Des combats violent s'étaient visiblement déroulés dans la zone, à en juger par l'état de la route et les cadavres jonchant le sol.

*les soldats abattent les infectés, ils ont encore toute leur tête... J'aime pas ça, on va devoir ralentir*

Les corps semblaient avoir été posés pour gêner la circulation. C'était vraiment louche...


Lancer de dés :

< 6 (inclus) = passage sans soucis / supérieur à 6 = embuscade de pillards

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'Dé de la chance' : 2, 5

Le silence pesant dans la cabine du jumpy fut brisé quand un coup de fusil manqua de ma toucher a l'épaule. Je mis un coup de frein a main et le Jumpy tourna sur 90 degrés. Je sortis et dit:
"Paul! Sors! Vite!" Mais il ne se fit pas prier pour descendre: la camoinette était sous un déluge de feu. Je m'adossais au van et cherchais de l'oeil nos agresseurs. Il y avait un tireur sur le toit, un autre derrière une pile de cadavres et 2 autres que je ne voyais pas.
"Paul! Regarde de ton côté si tu vois d'autres tireurs!"

"Y en a qui me tirent dessus, mais je les vois pas !"

Ma position n'était pas des plus défendables. Des deux côtés nous étions à découvert. Je tentai ma chance et foncé droit devant moi, en direction d'un petit muret. Je n'avais jamais couru aussi vite de ma vie, tellement j'avais les foies. Je me jetai tête la première. Les balles avaient fusé, mais j'avais eu la chance incroyable de m'en sortir. Je rampai désormais au sol, la peur au ventre. J'entendais Johnny défourailler tout sur son passage. Le soldat était de bonne compagnie dans cette situation. J'arrivai bien vitre près d'un abri-bus en pierre, dans lequel je m'enfonçai. La couverture semblait bonne. Mieux encore, plus personne ne me tirait dessus.

Je sortait donc le glock.

*putain quel con ! J'ai laissé les chargeurs dans la caisse !*

Je m'en voulais. J'avais donc 17 balles dans le chargeur. C'était déjà ça. Je scrutai les environs, à la recherche des tireurs. Après quelques secondes, j'en repérais un, adossé à un mur. Il me cherchait, visiblement. Je commençai à paniquer. Je n'avais aucune idée de comment réagir dans un guet-apens pareil. Prenant mon courage à deux mains, je quittai l'abri-bus pour courir à toute vitesse derrière un mur. Il y avait une échelle non loin. Je la pris et l'installai contre le pan de mur. Je grimpai, pour me retrouver dans une position avantageuse. Un des pillards était allongé, devant moi. Il portait une cagoule et une arme que je n'arrivai pas à reconnaître. J'empoignai ma hache et avançai silencieusement vers lui, accroupi. Il ne m'avait pas repéré, ce qui me fit sourire un centième de seconde. Je levai l'arme pour lui frapper le cou. Une balle siffla, puis je m'écroulai au sol. L'un des pillard m'avait vu et s'était empressé de me tirer dessus. La balle avait éraflée mon épaule et la douleur m'avait déséquilibré.

L'homme que j'étais sur le point de tuer quelques secondes à peine se retourna et pointa son arme vers moi. Mon instinct repris le dessus et le glock, que j'avais encore dans la main gauche, décocha une balle en pleine poitrine à mon agresseur.

Je vis Paul courir comme un dératé pendant que je tirais sur nos assaillants. Je tirais par courtes rafales de 3 balles et je touchais l'un des raiders. Il s'écroula et je me jetais derrière un mur. La camionette était détruite... Je vis le tireur derrière les cadavres se retourner et tirer sur un toit à côté. je profitais de cette ocxcasion pour lui tirer dans la tête. Le dernier était sur un toit. Je fis le tour de ladite maison et vit une corde qui montait sur le toit. Je grimpai et trouvai le dernier. Je le saisit par l'épaule, lui fit faire volte-face, pris son fusil et le poussa dans le vide. Il utilisai un MAS 49/56 qui avait du voir du pays. Je descendais et appelais Paul.

"Johnny, par ici !"

*je saigne trop, c'est pas bon du tout*

Je me décidai à regarder la plaie. La balle avait creusé une petite entaille dans ma chaire. Mais la blessure n'en était pas pour autant superficielle. Je tentai de m'asseoir. La douleur me lançait très fort. Je réussis finalement à me poser sur le postérieur, serrant les dents et grognant. Johnny n'arrivait toujours pas, il devait penser que j'étais ailleurs.

*merde, merde !*

Dans la précipitation, je décidai que tirer une balle en l'air était la meilleur solution pour qu'il me trouve. Je n'avais pas l'esprit très clair.

Je vis une main tirer depuis le toit de la bicoque vers laquell Paul était parti. J'y allai et montai à l'échelle. Je vis Paul assis sur le toit, un cadavre a côté. Je vis aussi sa blessure a l'épaule droite.
"Merde! bouge pas, je vais chercher la trousse de secours."
*Je crois qu'il y en a une dans le Jumpy.*
Je courais vers la camionette et cherchais quelques secondes pour trouver la trousse de soins. La trousse en main, je remontais à l'échelle et commença à soigner la blessure..
*Merde, ça saigne beacoup.*
Je començais dès lors a panser louredment après avoir désinfecté la plaie.
Au bout d'une dizaine de minutes, l'affaire était réglée.
"Attends ici. Je vais fouiller les corps."
Le premier gars, sur le meme toit que Paul, avait une carabine M1 et une vingtaine de balles de 7.65. Le deuxième avit un SIG P226, 3 chargeurs de 9MM et 20 euros. le troisième avait un Revolver en 22. LR accompagné d'une boite de 30 cartouches. Le dernier possaidait un chargeur de secours pour son MAS 49.

Je pris mon courage à deux mains et me remis sur les jambes. L'épaule droite, désormais couverte de bandages, me lançait toujours. J'aurai juré que j'allai mourir quand le militaire m'avait désinfecté. Je regardai l'échelle avec appréhension. Le bâtiment n'était pas très grand, peut-être à quatre ou cinq mètres du sol. Mais ce serait tout de même une sacrée chute si je venais à tomber. J'entamai la longue descente de l'échelle, préférant aller lentement, échelon par échelon. Je ne pouvais utiliser que mon bras gauche pour le moment.

J'étais finalement arrivé au sol. Je retournai près de la camionnette, le T-shirt en sang. Aucun signe de Johnny, il devait fouiller les environs. Je remarquai un paquet de cigarettes dans la Jumpy, encore intact. J'en fumai une. Cela faisait des années que je n'y avais pas touché. Cela eu un effet bénéfique sur moi, puisque mon corps n'était plus habitué à l'étourdissement qu'on ressentait aux premières cigarettes. J'étais donc calmé, assis sur le siège de la camionnette. Johnny revint finalement, chargé comme une mule.

J'arrivai,fier de mes trouvailles,a côté de Paul, fumant un cigarette.
"Il va nous falloir un autre vehicule. t'es déscendu sans problèmes?"
J'attendais sa réponse en scrutant la camionette, bonne pour la féraille.

*Il se foutrait pas un peu de ma gueule ?*

"Sans problème. J'ai fait un triple salto arrière et tada ! Me voilà..."

Je tirai une bouffée, puis une autre.

"Je sais pas ce qu'on va faire... Je veux pas revenir les mains vides, pas question que ma fille ne bouffe rien. On va trouver de quoi rouler et aller à ce foutu Métro. Et on va chopper un putain de barbecue pour la peine. T'es partant ?"

Malgré mes grands airs, je n'en menais pas large. J'étais cependant déterminé à continuer.

L'ironie dont avait fait preuve Paul me déplaisait. Je lui répondis:
"Pas la peine de prendre ce ton là. Bon, je crois qu'ils avaient une berline pas loin. On va la prendre et avec un peu de chance, on va trouver un plus gros véhicule là-bas."
Nous nous mîmes donc en marche. la voiture attendait la, sagement.
"Je vais fouiller. Peut-être qu'eux meme avaient déja un peu de vivres et de munitions."
Cependant, la fouille fut inutile. Nous montâmes donc dans la caisse et je démarrais vers le Métro.

J'étais sur le cul de voir qu'en réalité nous étions à moins de trois minutes du magasin. Il y avait pas ma d'activité dans le coin. Des sacs de viande titubaient ça et là, grognant après la berline. Rien de bien méchant. Johnny et moi avions décidé qu'il était plus sage de rentrer par les quais de déchargement, là où on aurait le plus de chance de trouver des camions ( peut-être même encore pleins, mais ça voulait dire que l'endroit grouillait de zombie si c'était le cas ). Nous trouvâmes l'entrée sans grande difficulté...



Lancer de dés :

< 4 (inclus) = pas de poids lourds et un grand nombre de zombies

5 à 8 (inclus) = des poids lourds, pleins, mais une quinzaine de zombies

9 à 12 = des poids lourds, pleins, moins de huit zombies

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'Dé de la chance' : 6, 1

L'entrée arrière du Métro grouillait de zombies. J'arretai la voiture a bonne distance en disant à Paul de me couvrir. J'attrapais le MAS 49 et commençais a faire du tir de précision. lorsque j'en avait descendu une dizaine, Paul et moi nous approchâmes due camion. Nous tuions les zombies restants et j'ouvrai la porte du camion. Je décidais daller jeter un coup d'oeil a l'interieur de la remorque: elle était remplie au deux tiers. Je voulais quand meme voir pour touver d'autres choses utiles dans le magasin.

Lancer de dés:
<3(inclus): personne; 3 à 9: une dizaine de zombies; 9> 5 raiders

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#1 'Dé de la chance' : 4

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#2 'Dé de la chance' : 4

Johnny me fit signe d'avancer. Arme en main, j'entrai dans l'entrepôt du Métro. L'odeur fétide ne trompait pas, c'était un nid à zombies. L'américain me fit signe, pour me montrer qu'il me couvrait. Trois de ces horreurs m'avaient repéré. Ils allaient assez vite, ils couraient même. Le plus rapide pris mon talon dans le menton. Un autre était déjà sur moi. Je l'évitai sans oublier de lui frapper dans la nuque. Mon pied s'était levé et baissé très rapidement, lui brisant le cou. J'étais étonné, ce n'était pas un coup mortel. Peut-être étaient-ils moins résistants que les humains normaux... Le premier était toujours au sol, grognant furieusement après moi. Le troisième arrivait enfin. Je sautai vers lui, pied droit en avant et lui frappai dans la mâchoire. Il s'écroula. Jugeant qu'ils en avaient eu assez, je dégainai le Glock 17 et tirai sur les sacs de viande. J'entendis un cri terrifiant du fond de l'entrepôt, sans pouvoir en voir la source.

*putain c'était quoi ça ?*

J'entendis quelque chose courir lourdement vers nous. Sa démarche semblait désordonnée.

Un grognement inhumain se fit entendre à l'autre bout de l'entrepot. Je fis signe à Paul de ne pas faire un bruit. Je regardais attentivement quand la chose se mis a courir d'une façon pas très naturelle. J'apercevais sa silhouette large et haute. La bête semblait faire 2M20 de haut pour 1M50-60 de large.
*Qu'est-ce-que c'est que ça...*
Je levai mon fusil et tira dans sa direction. Un grognement se fit entendre et la bete sembla accelerer.
"Paul, mets toi a couvert, quelque part. je vais essayer de l'embrocher avec un Fenwick." dis-je.

"Mais t'es malade ? Il va te chopper avant que t'aie le temps de faire quoi que ce soit !"

Je regardai le militaire d'un air ahuri. Si il voulait prendre un chariot élévateur pour tuer ce truc, c'était son problème. Je tentai d'escalader l'une des immenses étagères de stockage. C'était extrêmement compliqué avec mon épaule endolorie, mais j'y parvins. Il y avait de très grosses caisses, qui n'étaient pas attachées.

*Bon, je dois lui faire gagner du temps, sinon il va se faire déchiqueter...*

La bête était sous moi, à la recherche de l'un de nous. Il semblait suivre Johnny. La caisse à côté de moi bougeait un peu. Je décidai de la pousser sur lui. Le truc à l'intérieur pesait très très lourd. Mais je parvins à la pousser. Elle chuta lourdement sur la tête du zombie monstrueux. Celui-ci disparut sous les décombres. Mais quelques secondes plus tard il refit surface, encore plus énervé.

*eh merde... J'ai quand même fait gagner du temps à l'autre*

Paul me regarda et grimpa sur une étagère. Il devait savoir que j'allais faire. Je courais en direction du Fenwick quand une caisse lui tomba dessus. La bete grogna et regarda en l'air. Je grimpais sur le fenwick et démarrais. La bete semblait se rapprocher et je tournais dans l'allée adjacente a celle ou elle était. Je la vis faire demi tour une fois arrivée au bout et elle courut dans ma direction. Mais au moment d'accelerer, un zombie m'attrapa et me fit tomber du fenwick. Il approchait son visage putride a cinq centimetre de mon cou mais je reussis a le repousser. Je remontais dans le Fenwick et démarrais sur les chapeaux de roues. Je sautais au maoment de l'impact. La machine et la bete se soulevèrent et le fenwick poussa le monstre sur cinq metres.Je croyais l'avoir tuée quand elle repoussa le fenwick, faisant glisser ler rails hors de sa poitrine. Il recommença a courir vers moi, l'air furieux. Je me levai et escaladai le rack derrière moi. Je mis le mstre dans la mire du MAS 49 et tirai. ça ne semblai pas lui aire grand chose. J'hurlai:
"PAUL! CASSE TOI D'ICI! VA AU CAMION!"
Paul me regarda d'un air étonné. J'avais oublié que son épaule était bléssée. Prenant mon courage a deux mains, je m'aggripais aux échelles des rack et balançais mon poids d'avant en arrière. Avec le monstre qui poussait les échelles, c'était plus facile que prévu de faire tomber l'étagère sur le monstre. Je sautais juste avant que le rack se renverse sur la bete. Le fracas produit avait du s'entendre de très loin. Je remontais sur le Fenwick et hargeais une palette de bouffe en boite. Je la levais suffisament haut pour que Paul puisse monter dessus puis je la chargeais, ainsi qu'un barbecue King Size. je chargeais aussi des matelas neufs et des sommiers. Une fois le camion plein, Paul et moi remontions dans le camion. Je le démarrai et pris la route de chez James.

Nous nous mîmes donc en route pour aller à Vitry-Sur-Seine. Nous arrivâmes assez rapidement au magasin. Cependant, les portes principales semblaient avoi étées barricadées a l'aide de materiaux divers. Il y avit aussi un nombre important de cadavres sur le sol, devant le magasin.

Lancer de dés:

<3 (inclus) = personne / 3-8= raiders / 8-10= survivants non hostiles / 10> = 20 zombies

Le membre 'Johnny Thunderhead' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de la chance' : 6, 3

Lorsque nous arretâmes les bécanes, je dis a Adam:
"Attendez, Je vais aller voir en éclaireur."
Lorsque je regardais par un des trous de la barricade, un canon de fusil sortit:
"ECARTEZ VOUS OU JE VOUS EXPLOSE LA TETE!" cria une voix qui venait de derrière la barricade.
"Woa! Calmez vous! on vient pas vous aggresser!" dis-je, d'un ton que j'esperais pas trop stressé.
"Qu'est ce que vous voulez?!" dit la voix du mur.
"On voudrait juste prendre des materiaux pour renforcer notre abri. Rien d'autre."
"On a tout utilisé ici. répondit la voix. Y'a plus rien a utiliser. Allez vous en."
Je remontais sur la moto d'Adam et nous prenions la route dans l'espoir de trouver un autre magasin de travaux en chemin.

C'est déçus que nous nous dirigions vers la superette du coin. Nous roulions pendant un quart d'heure quand je vis un panneau avec marqué dessus:"Carrefour Market". J'accélérais jusqu'au parking où je choisissais une place assez proche du magasin. De nombreux véhicules étaient abandonnés ici. Je quittais mon chopper, vite suivi par Johnny. Les deux bikers et James nous suivirent. Nous avancâmes jusqu'aux portes, mais elles avaient été barrées. Ni une ni deux j'enfoncais ces frêles planches de bois qui se brisèrent du premier coup. Des voix surgirent des profondeurs du magasin et nous nous déployâmes rapidement. Je prit mon FN FAL et le tint devant moi, près à tirer.

J'avancais entre les rayons faiblement éclairés quand un raider passa devant moi sans me voir. Il avait l'air un peu défoncé. Je sortais mon couteau, mit l'homme au sol et l'égorgeais sans bruit. Je progressais en regardant un peu partout, sauf où il fallait. Une balle siffla à mes pieds et on me renversa. Une fulgurante douleur me transperca la jambe et je me débattis. Je touchais quelque chose de mou et de chaud que je traversais aisèment. Le raider derrière moi glapit:

-MON OEIL !!! MON OEIL !!!

C'était une voix féminine. Je me retournais pour voir une femme assez âgée qui se tenait le visage à deux mains. Une coupure barrait ma jambe et je fut absolument sans pitié. Je levais mon revolver et lui enfoncais sous la gorge. Je pressais la détente et son crâne explosa.
L'adrénaline coulait à flots dans mes veines et je tirais sur le pillard qui venait de rejoindre mon rayon. Je l'atteignis à la gorge. Il essaya de hurler, sans succès. Il tomba au sol et se vida de son sang.

Au bout d'un moment, ma blessure se fit ressentir et je me mis à boiter. Je remarquais aussi que les rayons étaient presque complets. J'avancais vers le bout du rayon et tombais sur...

1-6= Un raider armé d'un poing américain; 7-10= rien; 11-12= une cage avec un prisonnier

Le membre 'Adam Edenfield' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé de la chance' : 2, 2

James marcha en avant sur les autres après la violente intercation et il eut juste le temps de voir un poing passer. Une douleur lui explosa dans la tampe mais il réussit à se mettre hors de portée du biker armé d'un poing américain.

-Enfoiré ! t'vas voir qui c'est l'américain fuckin'bitch !

James esquiva le coup suivant et lui cassa le bras lors d'une torsion violente qu'il fit en attrapant le bras de l'homme et en tournant sur lui même, tenant toujours le bras. L'homme s'écroula en hurlant et James dégaina le S&W.

-Bonne chance fiston...

Il tira dans la tête du bandit puis alla rejoindre les autres.