"Le premier Jour, il n'y avait que les ténèbres"

Une ambiance de fêtes bat son plein dans la ville lumière. Les gens sont dans les différents bars de la capital à regarder le défilé, où ,comme la grande partie de la population, sur les champs Elysées à voir passer l'armée française.
Spahis, légionnaires, parachutistes toute cet ribambelle de soldats était présent pour fêter la fête de la fédération devant le président nouvellement élu.
Une ambiance de fête qui semblerait ne pouvoir êtres gêné pour nos héros qui sont eux aussi dans la foule, près de la tribune présidentiel.
Nous sommes à H-30 minute de l'invasion.

HRP/ Vous pouvez introduire votre personnage. Pas de zombies pour l'instant^^

Attends Yandhen, rien n'est prêt, et on a déjà un début d'histoire: va voir dans le Contexte.

J'ai accepté la proposition de Yan Karl, sachant que son contexte est un peu plus marrant... On est d'accord pour dire que le premier jour doit être vécu de manière active, pas par un souvenir ou quoique ce soit du genre !

Et sa version est plus cool que la nôtre, faut l'avouer !

Pas emballé par le 14 juillet... Mais bon, je suis minoritaire.

HRP/Attend de voir la suite au moins^^

Ça justifie à merveille la disparition du gouvernement !

Je m'attends à une horde de zombie qui déboule du haut des Champs-Élysées. Perso, j'aurais plus cherché une explication de l'épidémie, car les créatures vont pas toutes débouler d'un coup. Mais bref, à voir.

Lol, on a déjà une explication espèce de mauvaise langue, ils vont pas juste débouler ^^

Une explication logique est plausible en plus. En tout cas, si vous voulez discuter, faite le sur la chat box s'il vous plait.

J'étais avec ma femme et ma fille, pas loin de l'estrade présidentielle. C'était un beau 14 Juillet, surtout parce que le soleil était au rendez-vous mais qu'il ne faisait pas trop chaud non plus. May voulait voir "monsieur flamby" comme sa mère l'appelait mais on n'était pas assez bien placés pour ça. Par contre on voyait très bien les Champs-Élysées et les arbres qui remontaient l'avenue. May était folle devant les chevaux, comme toute bonne petite fille le serait à sa place... Et moi, je m'emmerdais un peu à vrai dire.

J'étais dans la foule, au premier rang, le pistolet collé au flanc sous ma veste. J'attendais le signal.

Je célèbrais le quatorze juillet avec ma petite fille, Lyne, qui venait de fêter ses 12 ans. Elle était jolie, très jolie même, avec ses longs cheveux de soie noire, son teint de pêche et de velours et ses grands yeux pâles, comme deux morceaux de ciel d'automne arrachés à sa saison. Je souriais malgré moi, car ce spectacle était impressionnant la première, la deuxième et la troisième fois, mais à 48 ans, je n'en avais plus rien à foutre. Au contraire de Lyne. Bref, nous n'étions pas loin de la tribune présidentielle, parmi la foule en délire, et j'avais eu la chance toute relative de voir notre p'tit Flamby, qui paraissait moins mollasson qu'à la télévision. Mais cela ne me fit pas regretter d'avoir voté pour notre ancien Président.
Avec ma fille -Dieu qu'elle ressemble à sa mère- nous nous promenions parmi les badauds pour assister aux festivités de tous les angles possibles.Ainsi, nous vîmes de nombreux chevaux, au grand plaisir de Lyne, et j'allais me prendre une bière au bar du coin, avant de revenir et d'entendre mon enfant en demander. Nous nous trouvions devant un autre couple, un homme, une femme, et leur fille, qui semblait tout aussi fascinée que la mienne par les équidés. Je les regardais à mon tour mais ne leur trouvais rien d'exceptionnel. Toutefois, si ça plaisait à Lyne.
Le temps était resplendissant, pas un nuage en vue. L'excitation des festivités était à son comble. Tout semblait augurer une fête comme personne n'en avait encore vu.

HRP/J'attend que d'autres personnes souhaitant participer ce manifeste et on y va

Le défilé battait son plein, et tous était prit dans l'excitation de la fête, tellement que personne ne remarqua la camionette qui c'était garé derrière la tribune officiel.
Trois hommes en sortirent, et abbatirent les gardes avec des pistolets silencieux.Ils revétirent des masques à gaz. Puis, ils s'avancèrent vers le président qui ne c'était pas rendu compte de leur présence.
C'est alors que l'un des hommes cria:

-Mort au pouvoir!

Il appuya sur le bouton d'un bâton qu'il tenait, et un immense nuage de gaz verdâtre ce répandit dans la tribune présidentiel. Tout cela ce passa en une fraction de seconde. Les différentes personne dans la tribune ce mirent à suffoquer, et s'effondrer devant la population de Paris.
Mais le vent, ce jour là , avait tourné, et le nuage ce dirigeait maintenant vers la foule! Cet dernière, prise de panique ce mettait à reculer en hurlant vers le rond point de l'étoile. Les militaires eux aussi firent marche arrière, en raison de la non présence de masque à gaz lors de la manœuvre.
Le nuage ce rapprochait dangereusement de nos héros qui n'avait d'autre choix que de fuir avant d'êtres rattraper par la mort.

HRP/ Test d'athlétisme et de vigilance demandé

Ce n'était pas moi qui avait vu le nuage en premier mais ma femme Lise. Elle avait hurlé et pris May dans ses bras avant de me hurler de courir. Je ne comprenais pas bien ce qu'il se passait et après un moment d'hésitation j'ai du suivre le mouvement de panique pour échapper au gaz...



1er Jet = Athlétisme 70

Je n'ai pas de compétence vigilance.

Le membre 'Paul Rochel' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé à 10 faces' : 2, 4

Avec ma fille sur mes épaules, je me mis à fuir le nuage lâché par on ne savait vraiment qui. Personne ne savait ce qu'il s'était passé, mais en voyant les membres du gouvernement s'effondrer, un mouvement de panique s'élança, suivit par Lyne et moi. Et nous réussîmes !!! Le nuage disparut derrière nous tant j'avais vite couru.

Lancer d'Athlé: 75%

Réussite

Le membre 'Joel Mercier' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé à 10 faces' : 6, 3

Nos héros réussirent à devancer le nuage, et ce frayèrent un chemin vers le rond point de l'étoile. Là, de nombreux gendarmes et soldats commençait à prendre en charge les civils.
Les cris, les pleurent et les bruits des radios crépitait partout sur la place.
En s'aprochant d'un fourgon, Joel put entendre ceci.

-Ici Lardier! On a une attaque chimique sur le Trocadéro! Je répète! attaque chimique au Trocadéro!

-Bien reçu, on ne peut vous envoyer personne pour l'instant... ça a pété aussi à Notre dame, au Louvres et à l'assemblée...

-Comprit, je vais essayer de rassembler les blessés...

Les premières ambulances commencèrent à arriver, et des sapeur pompiers déployer leurs combinaison de risques chimiques.
Au détour d'un char, on pouvait voir un sergent de la légion, un russe pour êtres précis, qui tentait de gérer les civils.

-Messieurs dames, calmez vous, essayez de vous diriger vers l'hôpital Marmoton. Allez y dans le calme s'il vous plait...

-Sergent Oulinsky, quel est la situation? crépita la radio

-Un vrai bordel QG, c'est arrivé très vite, on a put rien faire...Le général ne répond plus à sa radio, les officiels et les membres du gouvernement non plus.

-Merde... va falloir aller chercher les survivants...

-Le colonel Michard du 3 ème régiment de sapeur à dépécher une équipe Azmat et un groupe de pompier sur place normalement.

-Bien, tenez nous au courant,  QG terminé

-Bien...Vous là bas! Dirigez vous vers l'hôpital Marmoton! Faites cela rapidement et dans le calme...

HRP/ Vous pouvez lui parler, mais surtout oblomov, ne le tue pas^^

J'étais complètement dans le flou, autant que ma femme et la centaine d'autres personnes avec qui nous étions. Plutôt que d'écouter bêtement l'ordre je décidai de lui hurler :

"C'est quoi ce bordel ? Des terroristes ?"

J'allais m'asseoir sur un muret avec Lyne, dépité en entendant les mots "attaque chimique". Et surtout, elles avait eu lieu dans toute la ville. Partout !!! Je n'en croyais pas mes oreilles. Alors que ma petite commençait à sangloter, je la pris dans mes bras en tentant de la réconforter:

- Chuuut... Du calme, Lyne. Sèche tes larmes, ma chérie.

Les mots du général m'inquiétaient... Je ne savais rien de tout cela. Dans la doute, je décidai d'attendre.

C'était plus inquiétant que le russe laissait paraître...

"Qu'est-ce qui nous dit qu'ils préparent pas une plus grosse attaque, ou que c'est pas contagieux ? J'emmènerais pas ma fille dans un hôpital bondé de gens qui étaient dans le nuage !"