"Le premier Jour, il n'y avait que les ténèbres"

-Monsieur, les seuls ordres qu'on m'a donné sont ceci "Dirigez les civils vers l'hôpital le plus proche, le services de santé va vous prendre en main. Il sera là pour vérifier que le gaz ne vous ai pas attaqué!

D'autres personnes émergèrent du nuage. Un homme en particulier, avec le teint plutôt pale s'approcha du sergent.

-Aidez moi! Ma femme est coincé là bas! Kof... kof... Elle à la jambe cassé! Qu'on vienne m'aider!

-On ne peut rien faire monsieur! Ce serait du suicide d'aller dans ce nuage sans protection!

-Mais merde! Ma femme est là bas!

-Elle est surrement morte à l'heure qu'il est monsieur! Maintenant dépéchez vous d'aller à l'hôpital le plus proche!

-Morte? Non! Ce n'est pas vrai!

L'homme repartit alors en courant vers le nuage.

[color=#339933]-Revenez ici! Revenez![/color]

Un imbécile mais j'aurais sûrement fait la même chose pour ma propre femme... Je me résignai donc à amener ma famille à l'hôpital désigné par le militaire, en compagnie d'un grand nombre de personnes aussi choquées que moi. Putain, ça ressemblait à "La Guerre des Mondes" un mouvement de panique pareil... Ma fille ne pleurait pas, contrairement à la plupart des autres enfants. Je n'avais aucune idée de pourquoi, sûrement qu'elle était trop jeune pour comprendre ce qui était entrain de se passer.

Je venais tout juste d'arriver sur les Champ Elysée après une très longue route a moto. Au lieu de voir le défiler c'est le chaos que je puis apercevoir, je me suis donc avancer jusqu'au regroupement, arriver a hauteur j'ai pu voir les gens pleurer, paniquer, j'ai donc décidé d'aller parler au militaire.

- C'est quoi ce bordel ? Qu'es qui c'est passer ici ?

- Je viens juste d'arriver, pas besoin d'aller a l’hôpital. Dites moi si je peut aider je suis un ancien des commando Irlandais.

- Très bien.

Ai se retourna et scruta les alentours il vit alors un homme et une petite en pleurs sur un muret, il s'approcha d'eux.

- Excuser moi mais il faut évacuer, j'ai une moto je peu vous accompagner a l’hôpital.

HRP Joel ! HRP

Puis, je me relevais de mon muret, avec Lyne, et je décidais de ne pas aller à l'hôpital. Mais un de ceux qui parlaient calmement avec les soldats vint m'accoster, pour me proposer d'aller à l'hôpital. Avec ma petite fille, et ainsi forcé, je ne pus refuser:

- J'ai déjà ma moto... Mais d'accord.

Dès qu'il tourna le dos, je grinçais des dents et m'approchais du véhicule du bon samaritain.

Ai sourit a la petite et passa un doigt dans les cheveux de celle ci.

- T'en fait pas, je vous emmène a l'hopital toi et ton papa. Venez elle est juste ici.

Ai monta sur la moto et attendit que le père et sa fille face de même en tendant un casque pour la petite.

On était encore loin de l'hôpital et des casseurs profitaient des attaques pour commencer leur pillage dans le coin. Forcément, c'était toujours pareil. À la moindre occasion les gens piquaient des trucs et au final ils se faisaient chopper... Enfin là c'étaient des pillages massifs alors peut-être qu'ils auraient une chance. Un motard avec deux personnes accrochées à lui nous dépassa en trombe, sûrement pour aller à l'hôpital lui-aussi. C'était une mauvais idée j'en avais la certitude, mais ma femme n'écoutait rien...

Laissant un instant Lyne seule, je me levais et allais voir l'édition spéciale à la télé. Je me doutais qu'il s'agissait de ce qu'il venait de se passer, et je devais en savoir plus.

Je laissai un temps ma famille pour aller chercher à boire. De préférence un peu d'alcool pour ma poire et des trucs plus légers pour les filles. Au bar, c'était la cohue et les serveurs étaient plus que débordés. À un certain point ils avaient arrêté de servir et avaient laissés les gens prendre ce qu'ils voulaient. Malheureusement pour moi en arrivant tout était presque parti. La télé crachait un bulletin spécial et je décidai qu'au moins je pouvais abreuver mon esprit, à défaut de ma bouche.

Ai se arrêta la moto a coté du bar. Il se leva et accompagna le pere de la petite qui elle était rester dessus. Sur le chemin du bar il présenta sa main a l'homme qu'il venait d'aidé.

- Ai Barnes, ancien sniper des forces spéciale Irlandaise.

- Joel Mercer, heu... Professeur en civilisations anciennes. Et Aventurier à mes heures perdues. Oui, je sais, comme Indiana Jones. L'âge en moins !!!

Je serrais la main de l'irlandais que j'avais devant moi, après ces quelques mots. Nous étions arrêtés devant un bar, bien que ce ne soit pas le meilleur endroit pour Lyne. Toutefois, l'ancien tireur d'élite avait eu l'amabilité de nous emmener. Puis, une fois les présentations faites, j'entrais aux côtés de ma petite fille pour regarder le flash spécial qui passait.

-...Et nous retrouvons en direct des champs Elysées Jeff Witemberg, alors Jeff avons nous des nouvelles pistes sur l'origine de cet attentat?

-Ecoutez mon cher David, la police n'exclu pas une attaque Islamiste, mais d'après ce que nous avons put voir, il semblerait que nous ayons affaire à des ... Attendez qu'est ce qui ce passe?

La caméra ce tourna vers le nuage de fumée, et l'on vit en sortir l'homme de tout à l'heure, portant sa femme dans ses bras. Il titubait au milieu de la rue. Il fit quelques pas, s'arrêta, et s'effondra.
Un gendarme tenta de venir l'aider, mais à la stupeur général, l'homme effondré sauta au cou du gendarme, et lui mordit profondément l'aorte. La femme quand à elle manger littéralement la jambe du pauvre gardien de la paix qui criait. Ce dernier fut propulsé au sol par les deux fous.

-Nom de dieu!

Deux militaires ce dirigèrent vers les deux cannibales, Famas en joue.

-Reculez! De suite!

Le couple tueur ce releva et avança vers les deux soldats, la bouche ensanglanté grande ouverte. La riposte ne ce fit pas attendre et l'homme et la femme furent criblé d'une dizaine de balle d'assaut.
On pouvait entendre des cris sur la place de l'étoile de la part des civils présent.

-Non de Dieu! Que ce passe t'il ? Au rapport!fustigea le sergent Oulinsky. Un des deux soldat ce retourna alors vers son supérieur et lui dit

-Ces deux civils ont commencé à attaqué ce gendarme sergent, on est venu l'aider, et ils ce sont mit à AHHHHHHH!

Le canibal qui venait de ce prendre une dizaine de balle d'assaut venait de ce relever, et mordait dans le cou du militaire qui fut entrainné au sol. Il ce faisait dévoré par le couple. Son collègue désemparé ce mit à ouvrir le feu sur les "mort vivant", mais le gendarme l'attrapa et lui dévora le visage.

-Дерьмо! Что этот беспорядок! Evacuez les civils au plus vite! Dit Oulinsky en ouvrant le feu sur les cannibales.

-Bordel de merde qu'est ce que c'est que ça! Il faut sortir de là vite!

La caméra s'arrêta sur un plan montrant la brume, et de nombreuses ombres qui en sortait. Apparut alors le présentateur du JT, lui aussi abasourdit par ce qu'il venit de voir.

-Je.... nous avons préférez couper les images de ce reportage. Nous vous tiendront informé rapidement sur l'évolution de cet crise....

Je n'en croyais ni mes yeux, ni mes oreilles.

"Putain de merde... Le gaz rend les gens fous ! Faut surtout pas rester à l'hôpital, ils ont des gazés là-bas !"

Je décidai de retourner voir ma famille et commençai à courir le plus loin possible pour rentrer chez moi.

- Putain mais c'est quoi ce bordel ? Faut pas rester ici !

Ai attrapa le bras de Joel et alla en direction de la moto.

Je restais un instant paralysé devant ce spectacle, mon dernier geste ayant été de couvrir le visage de  Lyne pour ne pas qu'elle voit ces horreurs. Puis, je me mis à réfléchir. Nous étions trop proches de l'hôpital. Des gazés y avaient été amenés. Il fallait partir !!!

- Je vous remercie, Barnes, mais il faut que j'y aille !!! Je retourne chercher ma moto !!! Alors à la revoyure !!! m'écriais-je avant de sortir du bar avec ma fille dans mes bras.

Il fallait que je la mette en sécurité et que j'aille chercher mon attirail chez moi. Des fous. Du gaz qui rendait les gens fous, au point de dévorer leurs semblables... Mais je me rendis compte qu'à pied, ce serait encore plus dangereux. Seul, je l'aurais fait, mais là...

- Attendez, Barnes !!! fis-je en revenant en courant. Vous pouvez me déposer là-bas, où j'ai laissé ma moto ?

Ai fit un signe de tête affirmatif, il monta sur la moto et emmena Joel et sa fille a la sienne. Il sortit un papier de la sacoche de sa moto et écrit quelque chose a la hâte avant de le tendre a Joel.

- Voila mon numéro, si vous avez besoin de quelque chose appelez moi.

Ai fit un petit sourire a Lyne et s'en alla cher lui afin de récupérer ses armes.

HRP/ Donnez moi les adresses de vos perses pour que je vous situe sur la carte

HRP tu peu choisir une adresse au pif pour moi ^^ je connais pas paris ^^ HRP

HRP/Ça va êtres difficile par ce que moi non plus je connait pas Paris^^
Rhaa, maintenant, va falloir que j'arrive à vous regrouper de manière logique! On attendra demain pour cela...

HRP/ Je connais pas Paris...^^

HRP Tu a foutu un vent a Ai Karl ^^ HRP