"Le premier Jour, il n'y avait que les ténèbres"

Affichant une expression de joie totale, je hochai la tête.

-Espèce de connard! Combien de gens sont mort par votre faute!

Le russe tournait au rouge et venait de dégainer son magnum vers Pierre.

HRP/ Celui, tu peux pas le tuer par contre^^C'est mon PJ si je peut un jour jouer^^

"Pourquoi faire un truc pareil ? Vous êtes complètement cons ? Une bombe aurait suffit, pas une putain de pandémie !"

J'entrai dans une colère comme jamais auparavant, mais réussis à rester calme assez longtemps pour l'écouter.

J'ouvris les bras en croix et pris un air narquois.

-Allez-y, tuez moi ! On verra bien qui est l'assassin ! Ce n'est pas moi qui envoie des hélicoptères tirer sur des femmes et des enfants ! Je n'ai tué que quelques soldats, et je le regrette, mais on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, n'est-ce pas...

Je me tournai ensuite vers Paul

-Je ne sais rien de la pandémie...

""Je n'ai tué que quelques soldats !"... "Je n'ai violé que quelques petites filles...""

La comparaison était idiote mais j'étais trop énervé pour déballer autre chose que ça.

"Comment tu peux ne rien savoir de la pandémie ? T'étais avec eux oui ou non ?"

Je répondus froidement et durement

-En guerre, il y a malheureusement des victimes, et ceux-ci ne sont rien dn comparaison de tous les morts du pouvoir. Quant à la pandémie, je soupçonne ledit pouvoir de l'avoir déclenchée pour nous faire porter le chapeau et regrouper les gens contre un ennemi commun, le méchant anar avec un couteau entre les dents... La peur, ça marche.

-Je ne donne pas d'ordre non plus, il n'y en pas chez nous, nous ne sommes pas des larbins. Vous venez tuer les civils pour vous protéger de ce que vous avez créé... Quant à votre famille, il fallait rester près d'elle, et pas vendre votre cul ! À choisir, je préfère encore que ce monde soit rasé plutôt qu'il ne continue ainsi.

"Quel pouvoir ? Le gouvernement a été décimé, la plupart des grandes villes de France ont étés attaquées et c'est pareil dans le reste du monde, ce truc a attaqué tout le monde sans distinction ! Tu crois vraiment que quelqu'un peut fomenter un complot aussi débile ?"

Mes poings se serraient de plus en plus fort.

"Tu n'arranges pas ton cas en déclarant ça tu sais ? Détruire le monde... Quelle connerie."

J'oubliai immédiatement Pierre et me jetai hors du véhicule. Ma famille importait plus qu'une vengeance. Je fis un signe de tête au plus gradé des militaires et m'enfonçait dans la bouche de métro en espérant qu'il n'y ait pas trop d'infectés...

HRP Tu comptes intervenir ou c'est purement RP Yan ? HRP

-Je ne détruis rien, je libère. On y va ? Au plaisir, sergent Babouchka ! fis-je en imitant le salut militaire.

HRP/ Pour l'instant, il est purement R.P... Si jamais ya un changement de MJ, je garde oulinsky

HRP Tu veux que je prenne le relais ? ^^ HRP

Non ça va^^J'aime bien êtres MDJ

Le métro était étrangement vide. Que les rues se soient vidées aussi rapidement était d'ailleurs affolant. Nous étions dans le pôle Haussmann et il fallait rejoindre le pôle Saint-Lazare pour ensuite gagner les rames de métro de la gare Saint-Lazare. Tout était balisé et suivre le chemin n'avait pas été difficile du tout, malgré une pénombre effrayante par endroits. J'étais arrivé dans l'un des couloirs de correspondances amenant au métro de la gare quand j'entendis quelques grognements derrière moi. Je dégainais le .45 sans avoir même conscience du cran de sûreté ou encore de la capacité du chargeur. Deux infectés arrivaient dans notre direction, l'un d'eux terriblement déformé au niveau de la joue gauche et l'autre traînant la jambe comme si elle était cassée.

Voyant les deux infectés, je préférais n'utiliser aucune de mes munitions, et recula, pour laisser les autres gros bras s'en charger, je ne tirerai qu'ne cas de besoin aboslu

J'avais perdu ma fille à cause d'un con. D'un anarchiste qui se croyait supérieur aux autres parce qu'il voulait libérer le monde en le détruisant... Une sourde colère, aussi froide que l'hiver enfla en moi, et j'avançais vers Pierre, l'anarcho de service, le petit fils de p*te qui certes n'avait pas commis l'attentat, mais qui s'en réjouissait.

- Ah ouais, tu dois être vachement fier, hm hm... Maintenant dis moi une chose; qui sont les assassins: ceux qui tuent pour changer de pouvoir, chose assez abstraite, ou alors ceux qui tuent pour préserver la vie ? Dis moi ? Oh bien sûr, je suis trop fermé d'esprit pour comprendre que c'était un acte de bonté envers la planète. Que c'était pour... hum... la libération de la condition humaine. Certes. Mais dis toi que tu sers tes envies égoïstes. Tu vois ces créatures: elles voulaient vivre, et ce sont vos idées, vos actes qui les ont privé de cette vie, de même que tes envies. Je ne chercherai pas à te raisonner, car je sais que c'est impossible, mais j'ai perdu ma fille à cause de toi, espèce de connard, et si je te recroise, je te colle une balle entre les deux yeux, même si je dois y passer.

Sur ce, je montais à la suite de Paul Rochel, et nous partîmes pour secourir sa famille.

Nous étions rapidement arrivés aux tunnels de métro, pour se heurter face à deux zombies, deux de ces abominations. Sans réfléchir, je chargeais, et bondissais pour asséner un coup de mon bras dans le cou de la créature, la faisant basculer au sol. Puis, je dégainais ma machette, et frappais, frappais, frappais, frappais et frappais à m'en démettre le bras, ne laissant que des gerbes de sang visqueux et voleter un peu partout.

-Je ne veux pas changer de pouvoir, sombre crétin, mais le détruire. Je ne t'oblige pas à m'obéir, et je ne tolère pas qu'on m'oblige à le faire. Quant à ta fille, pardonne-moi, mais ce n'est pas moi ni un anarchiste qui lui ai tiré dessus, si ? Va passer tes nerfs ailleurs, y'a la Fnac à côté et le dernier Bioshock est une tuerie...

Après s'ètres débarasser des deux zombies, nos amis arrivèrent alors au guichet du pôle Saint Lazare. Qui pour le coup était plein à craqué de zombies qui ne les avait pas repéré. Il semblait aveugle. Paul put voir que la porte du local d'en face avait était attaqué par les morts vivants, mais que ces derniers n'était pas arrivé à l'ouvrir. Peut êtres qu'une approche discrète pourrai fonctionner?

HRP/ Si vous tentez de passer sans vous faire repéré, faites un test d'athlétisme à -10% ou un test de vigilance.

Épargne-moi tes inepties, tu ne fais pas de différence entre trotsko et anar et c'est pas le moment de t'expliquer... et il n'y aurait pas eu d'attentat sans opresseur.

-Je propose de foncer dans le tas ! Explosons ces zombies